REMBRANDT
« Rembrandt Harmenszoon van Rijn, habituellement désigné sous son seul prénom de Rembrandt, né à Leyde le 15 juillet 1606 ou 1607 et mort à Amsterdam le 4 octobre 1669, est généralement considéré comme l’un des plus grands peintres de l’histoire de la peinture, notamment de la peinture baroque, et l’un des plus importants peintres de l’École hollandaise du XVIIe siècle. Rembrandt a également réalisé des gravures et des dessins et est l’un des plus importants aquafortistes de l’histoire. Il a vécu pendant ce que les historiens appellent le siècle d’or néerlandais (approximativement le XVIIe siècle), durant lequel culture, sciences, commerce et influence politique des Provinces-Unies ont atteint leur apogée. »
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rembrandt
Robert HENRI
« Né à Cincinnati le 25 juin 1865 et mort le 12 juillet 1929, est un peintre et professeur américain, membre de l’informelle « Ash Can School », et figure majeure du réalisme américain. »
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Henri
Franz Xaver MESSERSCHMIDT
Yue MINJUN
« L’artiste, né à Daqing au nord-est de la Chine, en 1962 et a grandi sous la Révolution culturelle. Il a d’abord été électricien dans une exploitation pétrolière avant d’aller étudier l’art en 1985 à l’école normale de la province du Hebei.
En 1991, il rejoint une communauté d’artistes du village de Yuanmingyuan, près de Pékin et exploite le sujet qui deviendra sa marque de fabrique: le rire. La répression sanglante des manifestations pour la démocratie de la place Tiananmen au printemps 1989 vient de démolir l’espoir de la jeunesse, entraînant chez certains artistes chinois désillusion et repli sur eux-mêmes. Rompant à la fois avec le « réalisme socialiste » et avec l’avant-garde, ils développent le courant du « réalisme cynique ». «
Source : http://yue-minjun.blogspot.com/2013/01/le-sourire-de-yue-minjun.html
« Si je peins des rires, c’est parce que je ressens des douleurs sur la vie humaine. J’ai trouvé une forme comique pour exprimer quelque chose de tragique »
« Dans The Sun, derrière un soleil levant rouge sang caractéristique de l’iconographie maoïste, apparaît le visage démultiplié de Minjun à la place de celui du Grand Timonier. Après les événements de 1989, les artistes restés en Chine, sévèrement contrôlés, n’ont d’autre solution que de contourner la censure. Yue Minjun représente donc des êtres éternellement heureux qui évoquent les paysans, les ouvriers et les soldats aux sourires ultrabright des affiches de propagande maoïste. C’est évidemment un pied-de-nez aux autorités car le masque de l’artiste évoque un sourire forcé, un ricanement ou un rire dément, loin de l’épanouissement serein auquel voudrait faire croire le régime. »
Source : http://yue-minjun.blogspot.com/2013/01/le-sourire-de-yue-minjun.html
JP MIKA
Né en 1980 à Kinshasa, République démocratique du Congo
Vit et travaille à Kinshasa
« Depuis quelques années, il développe un style qui lui est propre, centré sur le portrait, simplifiant la mise en scène et en utilisant des tissus à motifs très colorés qui lui servent de fond. Cette « trouvaille » et l’utilisation parfaite de la couleur donnent une énergie toute positive à son travail qui se démarque désormais profondément des oeuvres de ses pairs. Ses compositions très réalistes ne sont pas moins bienveillantes et quelque soit son sujet, il peint avec douceur et tendresse une Afrique moderne, dynamique et joyeuse.
Il s’inspire du quotidien, de Kinshasa, ses habitants, mais aussi des événements historiques comme l’indépendance de son pays ou de son imagination. L’exposition « Beauté Congo ? Congo Kitoko » à la Fondation Cartier en 2015 marque un tournant important dans carrière. »
Source : http://www.magnin-a.com/fr/artistes/presentation/67/jp-mika
EXPO Congo Beauté 1926-2015 – Congo Kitoko à la Fondation Cartier 11.07 > 15.11.15
Les Arts plastiques à la forêt 